Le Bénin vient encore d’être honoré ! L’ancien Chef de l’Etat, Dr Thomas Boni YAYI, vient d’être choisi par de gros investisseurs Américains, Français, Britanniques, Japonais, Nigérians, Ghanéens, Sénégalais, Sud-africains, Ivoiriens… pour parrainer la Fondation Africaine d'Intelligence Economique et de l'Economie Numérique. Une Fondation au service du développement et de la prospérité de l’Afrique. Objectif : révolutionner le numérique en Afrique. De quoi s’agit-il, en réalité ?
La Fondation Africaine d'Intelligence Economique et de l'Economie Numérique sera incessamment portée sur les fonts baptismaux, avec la participation d’investisseurs privés, Anglais, Américains, Français, Britanniques, Japonais, Nigérians, Sud-Africains, Sénégalais, Ivoiriens, Ghanéens…
En dépit de considérables efforts consentis par les gouvernants, l’Afrique ne vit pas au plein cœur du XXIème siècle en matière du savoir, de l’information et des nouvelles technologies de l’information et de la communication, de l’économie numérique, de l’économie bleue et du bio mimétisme, etc.
La Fondation Africaine d’Intelligence Economique (FAIE) a pour objet de sensibiliser l’Afrique sur la nécessité d’accélérer les réformes économiques, politiques et sociales en recourant à l’ascenseur qu’offrent l’Intelligence Economique, l’Economie de la Connaissance, du savoir, ou l’Economie de l’information, les technologies de l’information et de la communication, l’Economie bleue et du Bio Mimétisme.
Au-delà des applications de l’informatique traditionnelle, la Fondation offrira les opportunités d’accéder aux nouveaux métiers de l’économie de la connaissance pour créer de nombreux nouveaux emplois dans les domaines du Bio Mimétisme et de l’Economie bleue au profit de la jeunesse Africaine. Elle s’associera avec les Etats Africains pour lever le préalable, selon l’Associé le Docteur AMATH SOUMARE (SOPEL INTERNATIONAL CANE EXECUTIVE).
C’est l’ancien Président de la République du Bénin, Dr Thomas Boni YAYI, qui a été désigné par ces privés internationaux pour parrainer ladite Fondation. Ils ont été séduits par ses qualités d’homme d’Etat et les progrès de développement réalisés sous sa conduite en 10 ans. Le rôle important joué par l’ancien Chef de l’Etat dans la consolidation de la paix et de la sécurité en Afrique et son leadership de plusieurs années au service de son pays, ainsi que pour sa contribution à la promotion des droits de l’homme, au service de l’Afrique et de la communauté internationale ont joué en sa faveur. Les initiatives prises en faveur des jeunes et des femmes, de l’éducation, des nouvelles technologies de l’information et de la communication ont également motivé la décision de ces investisseurs privés, qui ont voulu ainsi honorer l’ancien Chef de l’Etat. Car, ils souhaitent que Boni YAYI continue à mettre sa sagesse et sa vision au service de la poursuite des objectifs de développement durable, du maintien de la paix et de la sécurité en Afrique et dans le monde, et d’initiatives en faveur de l'Intelligence Economique et de l'Economie Numérique.
Cette Fondation dont la création est imminente va accélérer la sécurité alimentaire et nutritionnelle et renforcer le patriotisme et le civisme.
Dans une Afrique regroupant à elle seule 33 des 48 pays classés parmi les moins avancés, les décideurs sont confrontés à des urgences de toutes parts. Ces derniers souvent débordés, sont peu enclins à placer les investissements visant à améliorer l’accès aux technologies de l’information et de la communication au chapitre des dépenses prioritaires, au même titre que les infrastructures, la santé, l’éducation ou la défense.
L’émergence d’abord, le numérique attendra : c’est sans doute là que se trouve l’erreur décisionnelle. Le numérique n’est ni un besoin à part, ni un besoin secondaire. Tout comme l’électricité, ou l’énergie, il est devenu le moteur et la colonne vertébrale intégrante du fonctionnement de toute l’économie, en tant qu’accélérateur de performances et de plus-values.
Ces gros investisseurs ont très vite compris que pour l’ancien Chef de l’Etat béninois, le numérique, c’est l’avenir de l’économie et très certainement un outil moteur de l’économie. Car, au-delà du mythe du «miracle numérique» censé résorber les problèmes de croissance et de compétitivité dans les économies stagnantes ou vieillissantes, il n’est pas inintéressant de mesurer objectivement l’impact de la non introduction des technologies de l’information et de la communication sur les performances de l’économie africaine.
Réduire la facture numérique par un renforcement des capacités aux normes internationales
Les Technologies de l'information et de la Communication (TIC) sont à l’origine des grandes mutations socio-économiques au niveau planétaire, l'avènement des innovations dans le secteur des TIC au cours des trois dernières décennies, à donner une autonomisation et une forte croissance économique, offrant ainsi de nouvelles opportunités aux personnes de tous âges et dans tous les pays, leur permettant d'accomplir beaucoup de choses en peu de temps, par une forte productivité et une croissance économique soutenue, transformant ainsi leur vie.
Les TIC sont un véritable outil de développèrent et d'innovation à travers Ie monde. Cependant, leur avènement en Afrique, à donner lieu à autant d'opportunités que de défis, En effet, la main d'œuvre africaine pourra désormais se servir dans une large mesure, des compétences créées autour des TIC en vue d'une meilleure maîtrise et appropriation des changements technologiques, de l’innovation, de la productivité et de la compétitivité.
II faut mentionner que l’outil informatique et surtout le numérique sont inscrits au fronton des priorités de développement dans nombre de pays à travers le monde, en raison de leurs avantages certains dans tous les secteurs de la vie socio-économique, et qui favorisent par ailleurs une autonomisation immédiate et progressive des populations, mais ces priorités n’ont pas encore les mêmes priorités partout en Afrique.
Cette situation a amené un grand nombre de personnes à s'approprier les TIC et l’outil informatique sur le tas; ainsi la quasi inexistence des aptitudes minimales en outil informatique chez la plupart des africains, est à l'origine de leur manque de maîtrise des fondamentaux du numérique.
Les défis immédiats pour les pays africains s’articulent autour de l’adoption d'une politique nationale qui fait de la maîtrise de l’outil informatique une
exigence basique pour tous les citoyens africains;l’adoption de la certification (113), qui est une norme métrique internationale dans le domaine des TIC, comme norme en Afrique; la mise à disponibilité de toutes les opportunités qu'offrent les TIC dans le domaine de l‘innovation technologique conformément aux normes et pratiques internationales; l’organisation de compétitions à l’échelle nationale et internationale dans le domaine des TIC et les propositions de Certiport pour un partenariat avec les Gouvernants africains en vue du renforcement des compétences des africains dans le domaine des TIC aux normes internationales.
S'il est vrai que tout le monde n'a pas besoin d'avoir un niveau élevé dans la maîtrise de l‘outil informatique, il est aussi vrai qu'une présence visible dans l'économie numérique requiert une appropriation du fonctionnement des TIC dans tous les secteurs de sorte que l'on puisse faire valoir une connaissance suffisante de l'outil informatique afin de pouvoir avancer dans sa vie de tous les jours. L'intervention du numérique avec le système 113 comme norme, va engendrer le développement des stratégies numériques pour créer une main d'œuvre «compétente au plan informatique» auteur des objectifs ci-après : l'accroissement de la compétence informatique au plan mondial; l'expansion des services dans le secteur et le besoin croissant en TIC pour une flexibilité de la main d'œuvre.
La seule volonté de rester compétitif sur le marché mondial ou la reproduction des mêmes techniques d'hier n'est pas suffisant pour relever les défis d'aujourd'hui, sans parler des défis à venir; d'autres mutations socio-économiques exigent que l’Afrique prépare ses citoyens aux emplois non encore existants; aux technologies non encore inventées et aux défis dont nous ignorons encore l’existence.
Monsieur Niran Oyekale,Président Directeur Général de Commit Technology &Consult Ltd, associé du projet, exprime ses sincères remerciements pour les dispositions idoines que nul doute chacun prendra dans l’organisation des rencontres avec les Gouvernements en vue de la réalisation d'une révolution numérique en Afrique.
Ce projet de la Fondation vise donc à mettre en place en Afrique une plateforme régionale et continentale relative aux TIC. Il propose les points suivants :l'adoption d'une politique nationale qui fait de la maîtrise de l'outil informatique une exigence basique pour tous les citoyens africains; l'adoption de la certification (113), qui est une norme métrique internationale dans le domaine des TIC, comme norme en Afrique; la mise à disponibilité de toutes les opportunistes qu'offrent les TIC dans le domaine de l’innovation technologique conformément aux normes et pratiques internationales; l’organisation de compétitions à l’échelle nationale et internationale dans le domaine des TIC et les propositions de Certiport pour un partenariat avec les Gouvernants africains en vue du renforcement des compétences des africains dans le domaine des TIC aux normes internationales. Avec un objectif de renforcer la compétitivité et la formation dans le domaine des TIC, à travers les certifications Certiport.
En somme, de l’agriculture, en passant par la santé sans oublier l’éducation, le numérique est devenu le ciment du progrès et de l’innovation, à travers de nouvelles initiatives, permettant à l’économie directement informés des mutations des marché et dans la mise en place de dispositif robuste d’INTELLIGENCE ECONOMIQUE & DEVELOPPEMENT, pour la réalisation de croissance à deux chiffres qui stabilisera nos pays, sur les plans sociale, économique, politique et environnementale. Aujourd’hui le développement du secteur des services, sera boosté par l’économie numérique et les progrès dans les secteurs agricoles, éducatifs, sans oublier la santé, seront un levier et une application concrète des techniques de l’Economie de la Connaissance dans nos pays.
Les initiateurs de cette Fondation ont donc fait un choix judicieux en désignant l’ancien Président de la République du Bénin comme parrain.Avec le Dr Thomas Boni YAYI, et au regard de sa riche expérience, son parcours reluisant, la révolution numérique en Afrique sera une réalité évidente.