Pourquoi le rapport SNI ?
Il y a lieu de noter que le rapport d'évaluation sur le système national d'intégrité examiné par le conseil des ministres du mercredi 30 novembre a été commandité par le gouvernement défunt pour apprécier, au niveau de treize structures, les différents mécanismes d'anticorruption mis en place au cours de la période 2011-2016. Il a été financé par l'Union européenne et officiellement transmis au gouvernement par Transparency international, Alcrer et Social Watch Bénin, le jeudi 29 septembre dernier.
Les treize structures passées à la loupe par le rapport sont aussi appelées les "piliers du Système national d'intégrité". Ce sont l'exécutif, le législatif, le judiciaire, l'administration publique, les institutions d'application de la loi, les organes de contrôle des élections, l'autorité nationale de lutte contre la corruption, la chambre des comptes, le médiateur de la République, les partis politiques, les entreprises privées, les organisations de la société civile et les médias. Selon le rapport, le secteur des médias constitue le moins corrompu dans le pays et le secteur judiciaire est celui qui doit fournir plus d'effort de transparence et d'intégrité.
La note affectée au treize structures :
Medias = 50/100
Exécutif = 48/100
Médiateur de la République = 45/100
Autorité nationale de lutte contre la corruption = 45/100
Organes de contrôle des élections = 45/100
Parlement = 44/100
Administration publique = 39/100
Partis Politiques = 37/100
Société civile = 35/100
Institutions d'application de la loi = 31/100
Entreprises privées = 28/100
Chambre des comptes = 25/100
Judiciaire = 24,5/100
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