La libération des espaces publics a eu un impact sérieux sur le commerce de l’essence frelatée à Cotonou. Malgré l’interdiction formelle du préfet Toboula, les vendeurs indélicats investissent la nuit pour faire leur job, toujours aux abords des voies.
Maintes fois déjà, le préfet Modeste Toboula a martelé qu’il n’est plus possible pour les vendeurs de l’essence frelatée de mener leurs activités aux abords des voies comme ils en avaient l’habitude. Comme si ses mises en garde ne suffisaient pas, il a fait des descentes inopinées dans la ville de Cotonou afin que force soit restée à la loi. Néanmoins, il se trouve des vendeurs récidivistes qui attendent la nuit pour revenir mener tranquillement leurs activités aux abords des voies. Cet état de choses constitue est un défi lancé au préfet Modeste Toboula qui ne doit jamais se laisser faire. Cotonou doit présenter le même visage aussi bien le jour que la nuit. Il n’est donc acceptable que certains individus portent atteinte au travail très appréciable relatif à la libération des espaces publics qui a radicalement métamorphosé la ville de Cotonou. Il s’avère donc indispensable que ces récidivistes soient traqués et découragés. Leur comportement frise la rébellion et les laisser faire serait une fragrante injustice. Il faut donc nécessairement les y empêcher pour garantir la nuit la propreté de la ville, la libre circulation des personnes et des biens. Réussir à le faire sera un exploit de plus et chasser des commerçants véreux qui pratiquent à leur guise l’inflation, augmentant anarchiquement les prix. La situation est assez préoccupante et le préfet Toboula doit redoubler d’ardeur et de vigilance. Nous vous reviendrons…
David DOLTAIRE