10è édition du festival « Afri’k Dance » : Un impressionnant spectacle de chorégraphie clôture l’événement

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Publié le mercredi 12 avril 2017 | Matin libre

Avec faste et comme un rêve de fou devenu banalement réalité, le comité en charge de l’organisation de la 10è édition du festival de danse « Afri’k Dance » a étonné plus d’un. Le samedi 08 avril 2016, sur l’esplanade extérieur du stade de l’amitié, ils ont réussi à dresser un monde gigantesque autour du géant spectacle de chorégraphie qui a clôturé le festival.

Au rendez-vous, onze groupes de danse professionnels. Issus pour la plupart des ensembles artistiques des universités, ils ont réussi à servir un plat très consistant très rare au public qui ne cessait de les agrémenter de vastes applaudissements. D’entrée de jeu, ce sont les chorégraphes de l’Ensemble artistique et culturel, organisateurs de l’événement qui plantent le décor avec la danse du « dogba » Et c’est alors que s’installe un véritable rouleau compresseur de chorégraphies avec de riches facettes qui laissent à désirer. De la danse traditionnelle au hip-hop, en passant par la danse contemporaine etc., les différents groupes qui se sont produits ont donné de la chair de poule aux spectateurs grâce à des créations de mixages de rythmes qui laissent en extase des pas de danse impeccables.La Salsa, le Couper-décaler, le N'dombolo, l'Afro house, le Break dance, etc. les acteurs ont produit du beau spectacle, à l’image du somptueux podium et décor concocté par Jacob et son staff.

A l’œuvre, l'Union Culturelle et Artistique des Etudiants d’Abomey-Calavi (Ucae) ; le Cercle des Etudiants pour la Culture d’Abomey-Calavi, l’Art et Loisir (Cecal) ; le Club UNESCO université de Lomé et les ‘’New star dance Company’’ venus du Togo ; Etran's crew du Niger ; Les Nouveaux missiles etc. qui ont, pendant quatre heures d’horloge, tenu en haleine un public devenu surexcité.

Les regards sont désormais tournés vers la 11è édition du festival « Afri’k Dance », avec à l’horizon, un nouveau staff, deux ans après l’ère Jacob Mambou. Quant à lui, le grand et difficile pari a été gagné, et à jamais, il aura marqué l’histoire de l’Eace, en réussissant cette 10è édition avec panache.

Loth HOUSSOU