Je suis arrivé à Cotonou depuis hier, et nous avons eu une longue séance de travail avec le chef de l’Etat et ses collaborateurs. Les échanges ont tourné autour du programme d’investissement que nous avons déjà dans le pays et que nous pouvons aussi avoir par la suite, puisque nous sommes acteurs du secteur économique au Bénin. Comme disait l’ancien premier ministre Margaret Thatcher, il n’y a pas de nation prospère sans hommes prospères. Les hommes prospères, ce sont les entreprises prospères qui les font. C’est à travers la prospérité des entreprises qu’on peut régler les problèmes liés au social et à l’évolution de notre société.
Vous avez certainement parlé d’investissements. Vous êtes reconnu comme le propriétaire de structures économiques très importantes. Avez-vous abordé ces questions avec le président Talon ?
Avec le chef de l’Etat nous avons parlé des sujets relatifs aux investissements existants et aux futurs investissements. Je ne pense pas qu’on puisse parler de la politique sans parler d’économie. Et quand on parle d’économie, on parle d’investissements. En plus, combien de citoyens béninois ont la capacité de parcourir le monde et de ramener des investissements dans leur pays ? On a passé des heures de discussions sur ce sujet. Le Président s’est montré disponible, et c’est tout à son honneur.
Un mot sur l’hôtel Sheraton
Souffrez de ce que je ne puisse pas vous donner de détails en ce moment par rapport à certains sujets spécifiques. Vous connaissez le rôle que j’ai joué avant et après la campagne qui a porté au pouvoir le chef de l’Etat. Je n’ai pas été un soutien pour lui et je peux vous assurer que j’ai été agréablement surpris par la disponibilité et l’investissement personnel qui ont marqué nos échanges avec lui. Il y a des avancées très positives.
La rédaction