Signature d’accord de partenariat entre l’Uac et l’Adepes : pour une coopération public-privé au service d’un enseignement supérieur de qualité #aCotonou

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Signature d’accord de partenariat entre l’Uac et l’Adepes : pour une coopération public-privé au service d’un enseignement supérieur de qualité

Publié le mercredi 9 octobre 2013 | fraternitebj.info

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Brice Sinsin, recteur de l’Uac

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L’Université d’Abomey-Calavi (Uac) et l’Association des écoles privées de l’enseignement supérieur (Adepes) ont procédé, hier à l’amphi Idriss Déby, à la signature d’un accord de partenariat. Ceci, pour le renforcement de la coopération et des échanges entre les différentes structures concernées par l’enseignement supérieur. Ainsi, la signature de cet accord de partenariat vient sceller une alliance qui permettra de mobiliser les ressources nécessaires pour bien assurer la formation des jeunes à en croire le représentant de l’Adepes, Alain Capo Chichi. Conscient des défis à relever pour un enseignement supérieur de qualité, il a souhaité que cet accord soit un mariage fécond. Pour y parvenir, « il faut se faire confiance, mutualiser les ressources, les capacités afin qu’ensemble les défis de développement soient relevés », a laissé entendre Brice Sinsin, recteur de l’Uac. Car « s’occuper de l’éducation de son peuple, c’est prendre en compte le destin de son pays », a-t-il ajouté. Par ailleurs, la signature de cet accord de partenariat a été l’occasion pour le vice-recteur, Maxime Da Cruz, d’apporter des éclaircissements sur la gratuité des inscriptions. « L’étudiant qui fait une première inscription continue de bénéficier de la gratuité de l’inscription. Mais s’il fait une deuxième inscription, il doit désormais payer 15 000 F CFA pour cette deuxième inscription. En effet, cette mesure a été prise parce que beaucoup d’étudiants font la double inscription, ne viennent jamais dans les salles de cours et ne se présentent même pas aux différentes compositions. Ceci crée un gaspillage de copies. Il n’a donc jamais été question de remettre en cause la gratuité de l’inscription et ce dont il est question, c’est le paiement par l’étudiant de sa deuxième inscription », a-t-il clarifié.

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